« La première fois que Jean Lilensten m’a montré une aurore, je ne l’ai pas vue. La masse laiteuse, semblable à un nuage, évoluait de façon imprévisible. Je ne savais jamais ni où, ni quand, ni combien de temps elle allait paraître à mes yeux. Parfois, l'aurore surgissait en un point précis du paysage comme un laser de fête foraine, parfois elle se déployait, ondulante, comme un voile léger au-dessus de nos têtes. »
Anne-Marie Louvet, photographe

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