8 mars : journée internationale des droits de la femme

Le combat des femmes pour obtenir l’égalité entre les sexes s’exprime dans la rue le 8 mars mais aussi au quotidien, dans la vie privée et dans la vie professionnelle, sur les réseaux sociaux, dans la presse et de multiples canaux… Il s’exprime aussi à travers le cinéma.

Cette sélejournée de la femmeartction met en avant des œuvres originales et édifiantes dénonçant les violences sexuelles et sexistes faites aux femmes We are coming, 2022 ; la mini-série H24, 24 heures dans la vie d’une femme, 2020 ; dans le monde du cinéma : She said, 2022, les structures patriarcales aliénantes (en Iran : Sept hivers à Téhéran, 2023 et le film d’animation Ma famille afghane, 2021 ; dans le cadre du mariage : film d’animation letton My love affair with marriage, 2022 ; mariage forcé au Yémen : Moi Nojoom, 10 ans divorcée, 2014).

Plus spécifiquement, des films abordent les questions de l’égalité au travail (en Angleterre We want sex equality, 2010), du droit de vote des femmes en Suisse Les conquérantes, 2017, des femmes trans en Argentine Nos corps sont vos champs de bataille, 2021, de l’industrie du porno Pleasure, 2022 et *Female pleasure, 2018, de l’avortement au Tchad Lingui, les liens sacrés, 2021, de la prostitution des mineures au Canada  Noémie dit oui, 2022

Ruth Bader Ginsburg, juge à la Cour suprême et égérie de la cause des femmes, est à l’honneur dans le film documentaire 2018.

Enfin Alice Guy Blaché, première réalisatrice, évoque dans un court métrage de 1912 les conditions de vie des femmes, esclaves de leur homme mais aussi rebelles (Making an American citizen, 2012 in Retour de flamme, vol. 6) 

 

 

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